Interlude
Rose d’une extrême beauté, fragile et douce,
Je t’ai enlevé d’un jardin splendide
Pour un cœur dévasté quel candide !
T’offrirai-je du bonheur alors que ma tristesse continue sa course ?
L’armure de mon cœur tombe en ruine
Comment pourrai-je t’assurer cette tranquillité ?
Te servir de rempart contre les vents et marrées.
Pour qu’un jour de ton amour je sois digne.